• Blades Hockey de Maria Luis

    1- Power Play

    Blades Hockey de Maria LuisRégle n°1 : ne jamais faire confiance à une journaliste.

    Lui : joueur de hockey sexy. Sur le déclin.

    Elle : journaliste sportive. Carrière qui végète. En quête d’un scoop.

    Le patron de Charlie Denton lui confie une tâche impossible : obtenir une entrevue exclusive avec le golden boy de la NHL, Duke Harrison. Elle a huit jours ou elle sera rétrogradée.

    Virée. Jetée à la rue. Sans emploi. Rien.

    Son avenir repose sur les épaules d'un gardien de but qui n’est plus que l’ombre de celui qu’il a été.

    Elle a huit jours pour convaincre Duke que les lecteurs du Cambridge Tribune (tirage annuel : 1 000 exemplaires) meurent d'envie de tout connaître sur sa vie, sur et en dehors de la glace.

    Huit jours pour rester professionnelle face à un homme aussi chaud que la braise.

    Huit jours pour ne pas oublier que chaque baiser échangé n'est qu'un jeu de pouvoir.

    Huit petits jours. Facile, non ?

    Règle n°2 : ne jamais tomber amoureux d’une journaliste.

     

    2- Play it safe

    Blades Hockey de Maria LuisRègle numéro 1 : Ne jamais coucher avec son agent chargé des Relations Publiques.

    Je suis un dur à cuir, le bad boy de la Ligue de Hockey. Une carrière à se battre sur la glace, et à squatter le banc des pénalités aide à se forger une réputation.

    Mais là, ma réputation me précède.

    Nouvelle équipe, nouvelle ville, mais toujours cette foutue étiquette de bad boy qui me colle à la peau. J’ai le choix : soit je redore mon image, soit je raccroche les patins.

    Vous parlez d’un choix...

    Je me suis donc payé les services d’une agence de Relations Publiques... La meilleure du pays.

    Et parmi toutes les chargées de Relations Publiques, il fallait que je tombe sur elle.

    Celle que je devrais à tout prix éviter.

    Celle qui m’attire à en perdre la raison.

    Règle numéro 2 : voir règle numéro 1.

     

    3- Hot Play

    Blades Hockey de Maria LuisRègle n° 1 : ne pas céder le premier.

    En tant qu’attaquant vedette des Blades de Boston, j’ai acquis une solide réputation de bourreau des cœurs. J’accumule les relations sans attaches et je n’ai pas mon pareil pour faire ronronner les femmes. Toutes. Sauf la seule que je veux vraiment. Celle que je rêve de conquérir et de tenir contre moi, brûlante de désir. Gwen James, la Reine des Glaces de Boston m’embrouille le cerveau depuis des années.

    J’ai déjà joué à ce jeu. Je suis resté sur la touche.

    Peu importe les raisons pour lesquelles elle m’a repoussé jusqu’à présent, j’en ai marre d’être sur le banc. Alors, quand elle vient me voir et me demande une seconde chance, j’accepte à une condition : elle doit me prouver qu’elle est sincère. Que ce n’est plus un jeu.

    Pas de baiser. Pas de sexe.

    Ne pas la toucher est une torture, mais je veux que Gwen me supplie.

    Parce que je ne suis pas un figurant et que je joue pour gagner. Et je veux ce qu’aucun autre homme n’a jamais eu. Son cœur.

    Règle n° 2 : respecter la règle n°1.

     

    4- Play with Fire

    Blades Hockey de Maria LuisRègle numéro 1 : ne jamais regarder en arrière.

    On dit de moi que je suis le joueur le plus coriace de la NHL.

    La Bête du Nord-Est. Sur la glace et ailleurs.

    En tant que capitaine des Boston Blades, j'ai passé des années à bosser très dur pour que l’équipe remporte la Coupe Stanley. Mais l’équipe de direction des Blades a eu une drôle d’idée : nous faire participer à une émission de télé-réalité.

    L’objectif : attirer plus de fans.

    Notre mission : partager nos vies avec des millions de téléspectateurs, et si possible, les trucs croustillants. Voire sordides.

    Plutôt recevoir un palet dans les couilles que d’être sous le feu de ce type de projecteurs !

    Je n’accepterai de signer ce foutu contrat qu’à une seule condition : que la reine des médias de la Nouvelle-Angleterre dirige les opérations. Holly Belliveaux Carter.

    La femme qui me rend fou et dont le seul rire m’excite. Sans parler de ses lèvres. Et de son corps. La seule femme que j'ai jamais aimée.

    Le problème ?

    C'est mon ex-femme.

    Règle numéro 2 : oublier la règle numéro 1.


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